En quête de Romain Gary / un film de Olivier Mille ; avec Tsvetan Todorov, Robert Gallimard, François Bondy... [et al.], participants
Type : Images animées (DVD) Genre : Film documentaireAuteur: Réalisateur de film, Mille, Olivier , 1957-....Editeur : Paris : Artline Films (prod.)Description matérielle : 1 DVD toutes zones (48 min.) : 4/3, n. et b. et coul., PAL, son.Résumé : Qui était Romain Gary ? Roman Kacew, le petit juif né en 1914 à Vilnius, qui connut la révolution russe, l'exil, puis la persécution des juifs en Pologne ; Emile Ajar, Fosco Sinibaldi ou encore Shatan Bogat, ses doubles littéraires. Diplomate, écrivain et scénariste, il a endossé différents rôles et nombre d'identités. "Quand on n'existe pas, on peut être tous et chacun. Romain Gary, très tôt, a découvert qu'il n'existait pas. Cela l'a hanté toute sa vie [...], cela le désespérait", déclare Tzvetan Todorov.Note : Contient des images d'archivesSujet - Nom de personne:Gary Romain Sujet - Nom commun:Révolution russe (1917) | Seconde guerre mondiale (1939-1945) | identité | écrivain | mémoire | portrait | juif -- population | ashkénaze -- population Sujet - Nom géographique:Lituanie -- pays | Pologne -- pays d'accueil | Paris -- commune d'accueil | New York -- ville Dewey : 843Type de document | Site actuel | Cote | Statut | Date de retour prévue | Réservations |
---|---|---|---|---|---|
![]() |
Fonds audiovisuel | GAR B (Parcourir l'étagère) | Manquant | ||
![]() |
Fonds audiovisuel | GAR B (Parcourir l'étagère) | Disponible |
Contient des images d'archives
Cop. : France 3 : Artline films : INA, 1997
Qui était Romain Gary ? Roman Kacew, le petit juif né en 1914 à Vilnius, qui connut la révolution russe, l'exil, puis la persécution des juifs en Pologne ; Emile Ajar, Fosco Sinibaldi ou encore Shatan Bogat, ses doubles littéraires.
Diplomate, écrivain et scénariste, il a endossé différents rôles et nombre d'identités. "Quand on n'existe pas, on peut être tous et chacun. Romain Gary, très tôt, a découvert qu'il n'existait pas. Cela l'a hanté toute sa vie [...], cela le désespérait", déclare Tzvetan Todorov.