Les Elles du hip-hop / Un film de Larbi Benchiha ; et Ali Boutibi
Type : Images animées (DVD) Genre : Film documentaireAuteur: Réalisateur de film, BENCHIHA, LarbiEditeur : s.l. : Pois chiche films • : TV Rennes • : Cité média • : CNC (éd.)Collection : Images de la cultureDescription matérielle : 1 DVD (50 min) : coul.Résumé : A Rennes, Toulouse, aux Francofolies de La Rochelle ou aux Rencontres des cultures urbaines de La Villette, présentation de quelques-uns des premiers groupes de filles du mouvement hip-hop. Qu'elles pratiquent le rap, le graf ou le tag, sur scène ou clandestinement, Diam's, Bam's, Kenza, Les Hanky Panky Girls et les RCD Sisters entendent bien s'imposer dans un univers masculin tantôt fraternel, tantôt hostile. L'une "déchire" la ville, d'autres veulent "l'embellir en la féminisant". Étudiante en architecture, Kenza "bombe" de nuit, le long des voies ferrées. Dans l'illégalité, prenant des risques, elle revendique "une discipline qui respecte l'esprit premier du mouvement hip-hop, mêlant art et vandalisme et se pratiquant dans l'anonymat et la clandestinité". Le trio des Hanky Panky Girls, au contraire, opère à visage découvert dans le centre-ville de Toulouse. "Peintres urbains", elles réalisent des fresques au pinceau, représentant des personnages féminins inspirés des "mangas". Tandis que les RDC Sisters "s'entraînent comme des athlètes pour l'honneur de leur Bretagne" natale ou d'adoption, Bam's, la belle Camerounaise de Paris, écrit et chante un rap engagé qui n'oublie ni émotions ni sensations. Quant à Diam's, elle affronte pour la première fois le machisme d'une partie du public des Francofolies de La Rochelle.(Résumé de Marie-Christine Balcon, CNC-Images de la culture)Sujet - Nom commun:hip hop | émancipation de la femme | danse | expression culturelle : Danse | jeune | femme | break dance | rap | vie en banlieue | Peinture urbaine | graffiti | cultures urbaines Dewey : 792.78Plan de classement : :10E Arts du spectacle | 10 ArtsType de document | Site actuel | Cote | Statut | Date de retour prévue | Réservations |
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Fonds audiovisuel | 10E 792.78 BEN (Parcourir l'étagère) | Bureau |
A Rennes, Toulouse, aux Francofolies de La Rochelle ou aux Rencontres des cultures urbaines de La Villette, présentation de quelques-uns des premiers groupes de filles du mouvement hip-hop. Qu'elles pratiquent le rap, le graf ou le tag, sur scène ou clandestinement, Diam's, Bam's, Kenza, Les Hanky Panky Girls et les RCD Sisters entendent bien s'imposer dans un univers masculin tantôt fraternel, tantôt hostile.
L'une "déchire" la ville, d'autres veulent "l'embellir en la féminisant". Étudiante en architecture, Kenza "bombe" de nuit, le long des voies ferrées. Dans l'illégalité, prenant des risques, elle revendique "une discipline qui respecte l'esprit premier du mouvement hip-hop, mêlant art et vandalisme et se pratiquant dans l'anonymat et la clandestinité". Le trio des Hanky Panky Girls, au contraire, opère à visage découvert dans le centre-ville de Toulouse. "Peintres urbains", elles réalisent des fresques au pinceau, représentant des personnages féminins inspirés des "mangas". Tandis que les RDC Sisters "s'entraînent comme des athlètes pour l'honneur de leur Bretagne" natale ou d'adoption, Bam's, la belle Camerounaise de Paris, écrit et chante un rap engagé qui n'oublie ni émotions ni sensations. Quant à Diam's, elle affronte pour la première fois le machisme d'une partie du public des Francofolies de La Rochelle.(Résumé de Marie-Christine Balcon, CNC-Images de la culture)