Halte à l'expulsion ! Soutien actif aux travailleurs, étudiants étrangers expulsés ou menacés / Atelier populaire de l’ex-école des Beaux-Arts : Tous à la République ! Il est recommandé aux étrangers de ne pas participer : [affiche]
Type : Document iconographiqueGenre : AfficheAuteur: École nationale supérieure des beaux-arts, Paris, Atelier populaireEditeur : : mai 1968Description matérielle : 1 affiche : Entoilée ; Sérigraphie en orange ; 95 x 53,3 cmRésumé : 8 mai 1968, l'école des Beaux-Arts de Paris est en grève. Le 14, alors que la veille un million de manifestants clamaient leur intolérance au gouvernement gaulliste, les locaux sont occupés par les étudiants, soutenus par quelques artistes, et la contestation s'organise. Rebaptisée " ex-école des Beaux-Arts ", la nouvelle structure ouvre ses portes à tous, étudiants, artistes - peintres du Salon de la Jeune Peinture - travailleurs, français et étrangers,. C’est la naissance de l'Atelier populaire. Commence alors une production, d'abord modeste puis effrénée, d'affiches de toutes dimensions destinées à être placardées sur les murs de la ville. Note : Affiches militantes du Fonds Cavaniol. - Événements de mai 1968 en France. Manifestations estudiantines et grèves sauvages au milieu du mois de mai à Paris.Sujet - Nom commun:Emigration et immigration -- France | expulsion | travailleur immigré | étudiant étranger Sujet - Nom géographique:France -- paysType de document | Site actuel | Cote | Statut | Notes | Date de retour prévue | Réservations |
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Fonds général | En traitement | Affiche militante du Fonds Cavaniol |
Affiches militantes du Fonds Cavaniol. -
Événements de mai 1968 en France. Manifestations estudiantines et grèves sauvages au milieu du mois de mai à Paris.
8 mai 1968, l'école des Beaux-Arts de Paris est en grève. Le 14, alors que la veille un million de manifestants clamaient leur intolérance au gouvernement gaulliste, les locaux sont occupés par les étudiants, soutenus par quelques artistes, et la contestation s'organise. Rebaptisée " ex-école des Beaux-Arts ", la nouvelle structure ouvre ses portes à tous, étudiants, artistes - peintres du Salon de la Jeune Peinture - travailleurs, français et étrangers,.
C’est la naissance de l'Atelier populaire. Commence alors une production, d'abord modeste puis effrénée, d'affiches de toutes dimensions destinées à être placardées sur les murs de la ville.