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200 _aLes régiments ficelles
_eDes héros dans la tourmente de 1940
_fUn film de Robert Mugnerot d'après une idée de jean-Pierre Richardot
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_cVictorimage (prod.)
_as.l.
215 _a1 DVD (52 min): coul.
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_a"En juin 1940, trois régiments de combattants volontaires étrangers arrêtent pendant plusieurs jours l'envahisseur allemand aux portes de Paris, en Picardie, dans les Ardennes, et en Lorraine. On les appelle par dérision « LES REGIMENTS FICELLES » parce qu'ils sont pauvres, mal armés, mal habillés et font des miracles avec des bouts de ficelles.Ces unités combattantes, les 21ème, 22ème et 23ème RMVE (Régiments de Marche de Volontaires Etrangers), sont constituées de jeunes gens provenant du monde entier : pour un tiers des Juifs de toute l'Europe, un autre tiers de Républicains Espagnols, pour la plupart fuyant les persécutions de leur pays, ils ont trouvé refuge en France. Au total, environ 50 nationalités sont regroupées dans trois régiments constitués spécialement pour eux dans le sud de la France, au BARCARES (Pyrénées Orientales). La moyenne d'âge de ces volontaires, engagés pour la durée de la guerre, est de 27-28 ans. Ils sont souvent très instruits et motivés. Ils se sont engagés par reconnaissance envers le pays qui les a accueillis et pour la défense de ses valeurs démocratiques auxquelles ils croient plus que tout, la Liberté, l'Egalité, la Fraternité...Pendant tout le temps où ces hommes font le sacrifice de leur vie dans des combats inégaux contre le nazisme et le fascisme, à l'arrière, des responsables de hauts niveaux, militaires et politiques, bataillent, au sein du gouvernement pour une demande d'armistice rapide. Ils manoeuvrent durant trois semaines, sans relâche, auprès du président du Conseil Paul Reynaud, pour lui faire admettre leur point de vue. Ce dernier, partisan d'un armistice mais en accord avec l'Angleterre, finit cependant par céder, écrasé par la charge qui pèse sur ses épaules. Il démissionne et abandonne sa place au Maréchal Pétain qui demande aussitôt l'Armistice. Signé à Rethondes le 22 juin, il entre en vigueur le 25 juin, entérinant l'occupation de la moitié du pays et marquant, pour le Maréchal et ses partisans, le début de la collaboration avec l'ennemi. Les volontaires étrangers qui n'ont pas été faits prisonniers et qui ont pu rentrer chez eux, après leur démobilisation, vont d'abord être félicités puis bientôt livrés, pour une partie d'entre eux, aux nazis. Pour tous ceux qui voulaient se battre, la signature de l'Armistice marque le début de la traque et de la persécution par le nouveau gouvernement de la France." France télévision
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_a1 Introduction à l’histoire de l’immigration
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