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200 _aLe nègre Potemkine
_fBlaise N'Djehoya
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_aParis
_cLieu Commun
_d1988
215 _a1 vol. (268 p.)
300 _aLieu commun, 1988, 268 p.
330 _91
_a"Des anciens combattants africains de la seconde Guerre Mondiale sont invités à Paris pour la célébration du 14 juillet 1985, en reconnaissance des services rendus à l'ancienne métropole, l'ancienne "mère-patrie" pour laquelle ils ont sillonné les champs de bataille d'Europe, comme le désert d'Afrique du Nord. Ils débarquent à Roissy, semblables à une troupe d'extra-terrestres désemparés devant un monde où ils ont du mal à retrouver les marques de leur passé de militaire de l'armée française" - Sewanou DABLA, Notre Librairie n° 103. "Blaise N'Djehoya permet à d'anciens tirailleurs sénégalais invités à une cérémonie officielle de retrouver leur « Paris de Di Gol et Zan Moulin » mais celui-ci ne correspond plus à leurs souvenirs : ils y sont confrontés à une cohorte de marginaux" - Bernard MAGNIER
330 _92
_a"Perdu dans ce café, Zanzibar se disait qu'il état aussi près de leurs yeux qu'il était loin de leur coeur." p.49Je me suis bien renseigné sur cette question et je demande : pourquoi sommes-nous dans vos archives et quasiment nulle part sur vos pellicules ? Pas un film de guerre avec un soldat noir en tête d'affiche. Le cinéma tricolore ignorerait-il la couleur ? Ça va pas ça, non, trois fois non, ça va pas du tout... p.192
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_aSeconde guerre mondiale (1939-1945)
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_asoldat
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